Certains sourires n’expriment ni la satisfaction, ni le plaisir. C’est le cas du sourire « amer », provoqué par des goûts ou des pensées désagréables. Il met en jeu les mêmes muscles que le sourire de plaisir à l’exception des zygomatiques. On parle également du sourire « de mépris » qui exprime un sentiment de supériorité et s’accompagne d’un mouvement volontaire de haussement du nez ou du sourire « de défi » où les canines sont mises en évidence.